On le sait, il y a des cons partout, mais parfois je me demande s’il n’y en a pas une quantité plus importante à l’Université Nationale de Cordoba!!! J’avais pu souligner l’incompétence de l’administration de la fac au semestre précèdent dans ce billet ci. Dorénavant je tiens à entériner complètement mes propos par le récit qui suit. Feedback sur une administration minable (n’ayons pas peur des mots!!!)…
Le grand trip des argentins ce sont les tramites, ces espèces de procédures à la con qu’il faut suivre pour être dans les normes, pour « régulariser les choses ». (Quand on voit l’organisation du pays ça fait bien rigoler ou plutôt ça afflige !)
Replaçons les choses dans leur contexte. Lorsque nous arrivons à l’étranger, nous avons un enseignant-contact (Carlos Swoboda pour balancer) à la fac qui est sensé nous aiguiller dans les démarches à faire. Ce con**** de contact, dans son incompétence sans limite, n’avait même pas été foutu au semestre passé de me dire qu’il y avait un tramite à faire pour s’inscrire définitivement à la fac. Je l’avais appris par l’intermédiaire d’une autre élève etc… Bref je m’étais retrouvé dans la merde au moment de l’inscription aux exams et l’administration ne cessait de me répéter « sans la “resolucion” (un papier à la con, encore un) on peut rien faire ». J’avais alors poussez une énorme gueulante auprès de l’administration pour qu’ils se bougent et que les choses rentrent dans l’ordre. Au final, ils avaient tous pleurnichés comme des mer**, le contact en 1er me disant qu’il ne s’occupait pas des problèmes administratifs (je me demande encore de quoi il s’occupe !!)
Sentant le mauvais coup arriver au deuxième semestre, je m’y étais pris à l’avance cette fois ci. Comme l’histoire est un éternel recommencement, je me suis entendu dire malgré tout « on a pas encore reçu la “resolucion”. ». Mais cette fois-ci plus besoin de “resolucion” pour s’inscrire aux exams (aux dires de Teresa Rodriguez, je balance encore). Le papier n’est plus impératif on ne sait pas par quel miracle. Ainsi je me demande s’ils ont eu peur que je gueule à nouveau ou s’ils sont vraiment cons pour inventer les procédures au gré des envies de pisser.
Replaçons les choses dans leur contexte. Lorsque nous arrivons à l’étranger, nous avons un enseignant-contact (Carlos Swoboda pour balancer) à la fac qui est sensé nous aiguiller dans les démarches à faire. Ce con**** de contact, dans son incompétence sans limite, n’avait même pas été foutu au semestre passé de me dire qu’il y avait un tramite à faire pour s’inscrire définitivement à la fac. Je l’avais appris par l’intermédiaire d’une autre élève etc… Bref je m’étais retrouvé dans la merde au moment de l’inscription aux exams et l’administration ne cessait de me répéter « sans la “resolucion” (un papier à la con, encore un) on peut rien faire ». J’avais alors poussez une énorme gueulante auprès de l’administration pour qu’ils se bougent et que les choses rentrent dans l’ordre. Au final, ils avaient tous pleurnichés comme des mer**, le contact en 1er me disant qu’il ne s’occupait pas des problèmes administratifs (je me demande encore de quoi il s’occupe !!)
Sentant le mauvais coup arriver au deuxième semestre, je m’y étais pris à l’avance cette fois ci. Comme l’histoire est un éternel recommencement, je me suis entendu dire malgré tout « on a pas encore reçu la “resolucion”. ». Mais cette fois-ci plus besoin de “resolucion” pour s’inscrire aux exams (aux dires de Teresa Rodriguez, je balance encore). Le papier n’est plus impératif on ne sait pas par quel miracle. Ainsi je me demande s’ils ont eu peur que je gueule à nouveau ou s’ils sont vraiment cons pour inventer les procédures au gré des envies de pisser.
Allons, allons c’est comme ça dans toute l’Amérique Latine, une administration héritée de la colonisation espagnole au dessous de tout que les générations suivantes recopient
Cher Rémi, je compatis. J’ai connu les mêmes tracas à la UBA.. Ma tactique pour les faire céder et se bouger (et encore tout est relatif) était de les harceler par téléphone ou en me déplaçant sur place… c’était fatiguant.
Bon courage !