Ce matin, il fait froid, il y a du bruit dans lauberge, et il faut aller acheter le petit dej. Malgré tout je me trouve beau, je suis confiant sur nos chances dintégrer un appart et ma confiance est fondée. En effet, un appel en absence dAmélie (une française qui nous a propose son appart pour le mois dAoût car elle sen va et son colloc français nest pas là non plus) apparaît sur lécran de mon portable. Quelle aubaine, je rappel immédiatement, RDV est pris pour emménager laprès midi à 15h30. Joie et bonheur sont visibles sur nos visages radieux malgré un réveil douloureux.
5 mns plus tard Marion me demande, « tu lui as dis à Amélie que nous sommes 3 et pas 2. » Stupeur (et tremblements, —j ai pas pu résister—), Amélie est elle au courant? Par correction, je décide dappeler pour la prévenir en me disant que ça ne devrait pas poser de pb. Et bien là, gros doigt dans loeil, jusquau coude. Amélie me dit très aimablement, « trois ça commence à faire beaucoup, il faut que jen parle à Alex (le colloc absent). « Bref, grosse désillusion, plus demménagement, plus dun « chez soi » salvateur, fusse-t-il temporaire!! En plus, la miss part en WE, nous restons et resterons dans lexpectative jusqua lundi, date du début des cours… Nous partons donc dans le froid et la famine (OK, je fais peut être un peu de misérabilisme inutile) a la recherche dun appart.
Conclusion de la journée; Nada!!! à suivre…
C’est Amélie…Nothomb? Mouahahaha! Désolé.